«Siete mil leguas más allá, se avizora otro devenir, hecho de olvido y de paz. Las palmas de la mano tocan las hojas y pasamos a otra página, otra vida. En un abrir y cerrar de sueños, estás al otro lado de esa llama que consume tus días y los vuelve siglos. Niña, ya eras antigua. Adolescente, escogiste la irreverencia. Y todavía. Y hoy, vas al encuentro de la levedad, esa brisa tuya y de nadie más, esa risa que siempre será tu refugio ante la adversidad.»

Asi le decía la mujer a la otra, dos amigas encontrandose de nuevo despues de los meandros por los afectos, las luchas, los adioses, los aprendizajes, los momentos compartidos y los descubrimientos.

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Sept mille lieues au-delà, un autre avenir s’envisage, fait d’oubli et de paix. Les paumes de la main touchent les feuilles et nous tournons une autre page, une autre vie. En l’espace d’un rêve, tu es de l’autre côté de cette flamme qui consume tes jours et les transforme en siècles. Enfant, tu étais déjà ancienne. Adolescente, tu choisis l’irrévérence. Et encore. Et comment. Et aujourd’hui, tu vas à la rencontre de la légèreté, cette brise qui est la tienne et celle de personne d’autre, ce rire qui sera toujours ton refuge face à l’adversité.»

C’est ce qu’une femme disait à l’autre, deux amies se retrouvant après les méandres des deux par les affects, les luttes, les partages, les adieux, les apprentissages et les découvertes.